Cet article vise à analyser quelques-uns des problèmes que rencontre le domaine des « études francophones » qui tendent à se polariser autour de l’événement colonial, qui n’est pourtant que l’un des aspects de la francophonie. Il propose donc une rupture épistémologique qui devrait conduire à une meilleure prise en compte de l’historicité des littératures en français.